Fin d’un jeu
“Les jours de chaleur, Leticia, Holanda et moi on allait jouer près de la voie ferrée mais on attendait que maman et tante Ruth soient montées faire leur sieste pour s’échapper par la porte blanche. ”
“Les jours de chaleur, Leticia, Holanda et moi on allait jouer près de la voie ferrée mais on attendait que maman et tante Ruth soient montées faire leur sieste pour s’échapper par la porte blanche. ”
“Assez souvent, je priais mes petits élèves de chanter ensemble. Un jour, au milieu de leurs voix plutôt ternes, j’en distinguais une, claire, frémissante, étonnamment juste…”
“Nicolas s’était souvent demandé à quoi pouvait bien ressembler le cabinet de débarras, ce domaine si jalousement dissimulé aux jeunes regards et à propos duquel on n’admettait aucune question. Son attente fut comblée et dépassa même ses espérances.”
“Avec nos cheveux aplatis sur nos têtes par un long peigne arrondi, et nos nattes repliées et enfermées dans une résille noire, vous n’imaginez pas comme nos visages paraissaient durs. Et nous étions en effet dures les unes pour les autres, et malheureuses. Moi du moins j’étais malheureuse dans cette pension de province.”